Aucafé de l’Agora, on se réjouit du boom touristique dû aux derniers travaux d’aménagement de la place Nationale. Mais entre la chaleur et le
publiéedans le JO Sénat du 26/08/2010 - page 2221. La loi n° 2000-614 du 5 juillet 2000 relative à l'accueil et à l'habitat des gens du voyage prévoit que les communes participent à l'accueil des gens du voyage en mettant à leur disposition une ou plusieurs aires d'accueil, aménagées et entretenues.
Cesamedi, une centaine de caravanes appartenant aux gens du voyage ont pris place sur un terrain réquisitionné par le préfet des Alpes-Maritimes sur
Prèsde 80 caravanes appartenant à des gens du voyages sont installées depuis dimanche sur deux terrains privés à Wintzenheim-Logelbach, près de Colmar. Le
Lesquatre hommes appartenant à la communauté des gens du voyage que nous avons rencontrés le reconnaissent : « Oui, nous sommes
Depuisle 13 janvier dernier, la SNCF a engagé un bras de fer avec les gens du voyage, qui se sont installés sans droit ni titre à Cannes la Bocca sur un terrain qui lui appartient.
Lesmembres de la communauté des gens du voyage ont de nouveau posé leurs valises sur le terrain annexe du Club sportif nuiton.
Jeudi5 octobre 2017, la commission des lois a nommé Catherine DI FOLCO, rapporteur, sur la proposition de loi tendant à soutenir les collectivités territoriales et leurs groupements dans leur mission d'accueil des gens du voyage et sur la proposition de loi visant à renforcer et rendre plus effectives les sanctions en cas d'installations illégales en réunion sur
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Le préalable nécessaire, si ce n’est indispensable, est la saisine d’un Huissier de Justice afin de faire constater la présence irrégulière des occupants, relever également si possible leurs identités même si cela est loin d’être toujours aisé ainsi que toute éventuelle trace de voies de fait commises par les occupants pour pénétrer sur la parcelle et des risques particuliers en matière de sécurité publique ou salubrité publique. La compétence juridictionnelle, et la procédure afférente, diffèrent alors selon que le terrain irrégulièrement occupé appartient à une personne privée ou relève du domaine privé d’une personne publique ; relève du domaine public. Dans le premier cas, il convient de saisir le juge judiciaire – en l’occurrence le Président du Tribunal Judiciaire territorialement compétent – d’un référé sur le fondement des articles 834 et 835 du Code de procédure civile, pour qu’il ordonne l’expulsion des occupants installés sans droit ni titre sur le terrain. Il s’agit alors de démontrer que deux conditions sont remplies l’illicéité manifeste du trouble causé et l’urgence qu’il existe à le faire cesser. Dans le second cas, il convient de saisir le juge administratif – en l’occurrence le Président du Tribunal Administratif territorialement compétent – d’un référé dit mesures utiles » sur le fondement de l’article L. 521-3 du Code de justice administrative, là aussi aux fins qu’il ordonne l’expulsion des occupants irrégulièrement installés sur le domaine public. Il s’agit de démontrer la satisfaction de deux conditions, à savoir l’urgence de la mise en œuvre d’une mesure d’expulsion, et le fait que tel ne serait pas susceptible de faire obstacle à l’exécution d’une décision administrative. Le juge judiciaire ou administratif accueille ensuite la demande en rendant une ordonnance enjoignant aux occupants de quitter la parcelle, leur précisant qu’à défaut de libération effective il pourrait être procédé à leur expulsion au besoin avec l’aide de la force publique. Une procédure distincte mais hors de la maitrise et la main du propriétaire du terrain occupé permet de demander au Préfet de mettre les occupants en demeure de quitter les lieux dans un délai qui ne peut être inférieur à 24h. En l’absence d’évacuation des lieux à l’expiration dudit délai, le Préfet à la possibilité d’y procéder lui-même avec le concours de la force publique si besoin est. Les dispositions des articles 2 et 9 de la loi n°2000-614 du 5 juillet 2000 prévoient les différentes conditions dans lesquelles le maire possiblement pour le compte d’un particulier, le propriétaire ou le titulaire du droit d’usage du terrain occupé peuvent adresser une telle demande au préfet. En ressortent essentiellement les prérequis suivants la commune ou l’EPCI sur le territoire duquel l’occupation irrégulière tient place doit avoir rempli ses obligations de création, d’aménagement, d’entretien et de gestion des aires et terrains destinés à l’accueil des gens du voyage dont le schéma départemental a prévu la réalisation sur son territoire ; une condition non applicable aux communes de moins de 5 000 habitants ne figurant pas au schéma départemental le stationnement doit caractériser une violation d’un arrêté du maire interdisant le stationnement des résidences mobiles en dehors des aires et terrains de la commune aménagés pour l’accueil des gens du voyage, ce qui suppose donc que la parcelle occupée ne figure pas parmi les aires et terrains susvisés et qu’un arrêté interdise effectivement le stationnement en dehors desdites surfaces
Votre terrain est occupé des gens du voyage ? Faites appel au préfet Mise en demeure du préfet Dans les collectivités territoriales de plus de 5 000 habitants qui respectent leurs obligations en matière d'accueil des gens du voyage, les propriétaires de terrains privés peuvent demander au préfet de mettre en œuvre la procédure administrative de mise en demeure et d'évacuation forcée en cas d'occupation illégale troublant l'ordre public. Dans le cadre de cette procédure, le préfet peut mettre en demeure les propriétaires des résidences mobiles des gens du voyage qui stationnent irrégulièrement sur un terrain privé, de le libérer. Cette mise en demeure est possible lorsque l’occupation entre en contradiction avec les dispositions d'un arrêté du maire ou du président de l'établissement public de coopération intercommunale, interdisant le stationnement des résidences mobiles en dehors des aires d'accueil aménagées sur le territoire concerné et lorsque cette occupation porte atteinte à la sécurité, la tranquillité ou la salubrité publiques. Si cette mise en demeure n’est pas suivie d’effet dans le délai fixé, le préfet peut faire procéder à l'évacuation forcée des résidences mobiles, sauf opposition du propriétaire ou du titulaire du droit d'usage du terrain. Saisine du juge judiciaire Lorsque les conditions ne sont pas réunies en vue d’une mise en demeure du préfet, ou parallèlement à cette procédure administrative, le propriétaire privé peut également saisir, en référé, le Président du Tribunal de Grande Instance.
Il arrive fréquemment que les gens du voyage occupent illégalement un terrain privé. Il convient alors de lancer une procédure pour obtenir leur départ. L’occupation d’un terrain par des gens du voyage peut rapidement virer au cauchemar pour le propriétaire Dégradation des clôtures, Déchets divers non évacués, Vol de fluides eau, électricité…, Dégradations des espaces verts… Il est donc important de sécuriser les terrains barrières, pierres, fossés… pour éviter qu’ils ne puissent être occupés ! Si malgré ces précautions, les gens du voyage arrivent à pénétrer sur le terrain et s’y installent, il convient de réagir très rapidement. La procédure pouvant en effet être longue…. La procédure se déroule en trois temps Un constat d’huissier, Une phase judiciaire, L’exécution de la décision de Justice. Le constat d’huissier La première action à entreprendre est le constat d’huissier. L’Huissier de Justice se déplace sur les lieux occupés pour relever la présence des gens du voyage. Le constat fait ainsi apparaître le nombre de caravanes, les immatriculations et l’identité des occupants. La phase judiciaire Le propriétaire doit ensuite saisir le Président du Tribunal judiciaire pour obtenir une Ordonnance d’expulsion. Selon les juridictions, cette Ordonnance est rendue sur requête sans convocation des gens du voyage ou en référé en ayant convoqué les parties par assignation. L’expulsion des gens du voyage Une fois l’Ordonnance rendue, l’Huissier de Justice se déplace à nouveau sur le terrain pour faire commandement de quitter les lieux aux gens du voyage. Il fait ensuite une demande aux Forces de l’Ordre pour qu’elles l’assistent pour expulser les gens du voyage la réquisition de la Force Publique. DELTA HUISSIER peut vous assister avec son réseau d’avocats correspondants dans la gestion de votre dossier d’expulsion de gens du voyage. En cas d’occupation de terrain par des gens du voyage, ayez le reflexe DELTA HUISSIER, huissiers à Compiègne, Beauvais, Roissy CDG et Paris.
gens du voyage sur terrain leur appartenant